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Électron libre de la radio et de la télévision, Guy Carlier - plus libre que jamais - nous propose ici un réjouissant jeu de massacre.
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Carlier libre
Électron libre de la radio et de la télévision, Guy Carlier - plus libre que jamais - nous propose ici un réjouissant jeu de massacre.
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Électron libre de la radio et de la télévision, Guy Carlier - plus libre que jamais - nous propose ici un réjouissant jeu de massacre. Télé-réalité, télé-poubelle, émotions frelatées, candidats et témoins «chair-à-télé», animateurs pathétiques, rien ne nous aura été épargné... alors Carlier n'épargne rien ni personne au fil de ces chroniques hilarantes dont voici un court extrait :
BACHELOR
Janvier 2004
Hier soir, j'ai regardé le Bachelor sur M6. Vous remarquerez qu'on dit le Bachelor tout court et non plus le millionnaire comme avec Greg, vous vous souvenez de Greg le soi-disant millionnaire ? Remarquez, moi, dès le début j'ai eu des doutes, le jour où il a retiré de l'argent avec une carte Indigo.
Le Bachelor se prénomme Steven. Il prétend qu'il possède deux restaurants à New York. En fait, il accueille les clients et il passe un coup de balai à la fin du service.
Quant aux filles, elles se prénomment Candice, Karine ou Morgan et elles passent leur temps à répéter des phrases du genre : «Les sentiments, c'est pas évident à gérer.»
Remarquons qu'à la base, il faut qu'elles soient particulièrement idiotes pour croire qu'un type jeune, beau et riche vivant à New York a besoin d'écrire à M6 pour rencontrer la femme de sa vie.
Remarquons aussi n'est guère mieux doté du point de vue cérébral, puisqu'il répète sans arrêt : «Je sais pas où j'en suis.»
Autant vous dire que les dialogues deviennent vite assez lassants, puisque les filles ne cessent de rabâcher : «Je ne croyais pas que je tomberais amoureuse, mais les sentiments, c'est pas évident à gérer», tandis que le Bachelor répond inexorablement : «Je sais pas où j'en suis.»